C’est peu de dire que la spéculation foncière a pris des proportions inquiétantes dans notre pays. La boulimie des spéculateurs n’épargne aucun espace public ou privé, en ville tout comme à la campagne, aucune servitude sur la terre ferme comme dans les lits des fleuves et marigots. A Bamako et environs, tout est morcelé et vendu.
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